D’Artagnan aurait aimé cette bataille !
Auch, en plein cœur du Gers.
Les représentants des Unions Départementales d’Occitanie et des Fédérations CFE-CGC se réunissent pour le Comité Directeur Régional.
Notre combat ? de meilleures conditions de travail, ensemble et pour tous.
Sous l’égide de notre hôte, Marie-Line Brugidou, Présidente de l’Union Régionale Occitanie, cette journée de travail se déroule dans un esprit de confrérie militante, mêlant stratégie, engagement et convivialité gasconne .
Échanges passionnants autour du développement syndical avec :
Stanislas Gaudon, Président de la Fédération des Services Publics,
Pascal Fabre, expert confédéral développement et IA et le SNT par la voix de sa Présidente Béatrice Barrau pour évoquer les élections professionnelles (décembre 2026).
Un moment pour renforcer nos liens, affiner nos actions communes et préparer l’avenir de la CFE-CGC et du SNT dans les territoires !
Nous avons rencontré les collègues de la Police avec le Superviseur national David Leyraud au Commissariat où nous avons croisé les Policiers Municipaux.
Le Directeur nous a reçus avec les délégués syndicaux. Échanges riches sur les effectifs et les perspectives. Un avenir marqué par l’inquiétude d’avoir assez d’effectifs pour assurer la continuité du service. Nous avons vu -et ri aussi- avec les collègues de la brigade de nuit.
Un pour tous… et tous pour l’intérêt général !
Hit FM Radio, « l’esprit Sud-Ouest » est venu nous interviewer… à bientôt sur les ondes ! Et pour la lecture : La Dépêche du Midi.
Du côté des section.
Il y a du changement du côté de Nice, Le 27 juin, Laurence PIANI a laissé les rênes de la section à une nouvelle présidente : Christine SIX ZUPPO.
Le petit mot de Christine :
La section Nice/ Métropole Nice Côte d’Azur travaille sur un périmètre riche de 11 500 agents (4190 pour NCA et 7310 pour Nice).
Cadre de la Métropole Nice Côte d’Azur, j’ai occupé plusieurs postes d’encadrement ou de coordination au sein de cette entité, ainsi qu’à la ville de Nice depuis 1991 (Ressources humaines, Patrimoine, Petite Enfance et Action sociale, Police municipale et Finances). Investie au sein du SNT depuis une dizaine d’année, je siège depuis les élections de 2022 dans les différentes instances paritaires (CST, CAP A, F3SCT).
Adhérente au SNT depuis 2015, j’ai accepté à cette date de figurer sur les listes présentés pour les élections en CAP B de la Ville de Nice, aux élections suivantes et grâce à une convention avec nos collègues de la CFTC, nous obtenions deux postes en CT et me voilà lancer dans le grand bain.Nommée présidente de la section en février 2017, en novembre j’étais élue secrétaire-générale du SNT, ce qui m’a permis un travail en étroite relation avec l’équipe dirigeante du SNT et d’y valoriser l’image de la section Niçoise et de mieux cerner les contour de cette mission.L’équipe qui formait le bureau de la section s’est peu à peu dispersée, et sous l’impulsion de Christine un travail d’équipe a repris depuis janvier 2023 avec l’ensemble des élus de notre section.A mi-mandat et étant précisé que je ferai valoir mes droits à la retraite en 2027, il me semblait important de laisser la pleine autonomie à mon successeur en vue des futures élections et surtout de la future mandature.La transition s’est faite naturellement et dans la continuité de nos actions au quotidien dans nos collectivités qui sont aujourd’hui en grande souffrance.
Au sein du SNT, étant donné ma formation juridique je participe au Groupe juridique piloté par Béatrice Barrau, ainsi qu’au Groupe PM piloté par Mayalène Rossin. Je siège également au Conseil d’administration sur la liste complémentaire.
Enfin, je siège au Comité départemental de l’UD 06 depuis 2022.
Note section siège dans les différentes instances paritaires de la ville de Nice et de la Métropole soit 10 élus titulaires et suppléants.
Actu des actions du SNT
L’appel au soutien des élus pour la défense des revenus des agents territoriaux
A l’issue de l’envoi de la motion à l’assemblée nationale et au sénat par Olivier, notre trésorier préféré, nous avons été destinataire d’un e-mail de la part d’ Antoine DALLET, Collaborateur parlementaire de Fabrice BARUSSEAU, Député de la 3ème circonscription de la Charente-Maritime :
Madame, Monsieur,Permettez que j’apporte quelques précisions sur les éléments que vous avez indiqués dans votre courriel.Tout d’abord, je souhaite que nous entendions sur les termes. Il ne s’agit pas d’une baisse de rémunération, étant entendu que l’indemnités journalièrespour congés maladie ne constitue pas un élément de salaire. Egalement, la diminution de l’indemnité pour congé maladie ordinaire de 100% à 90% n’excède pas le cadre fixé par le législateur, puisque cette disposition a été intégré au sein de l’article L822-3 du code de la fonction publique après modification par la loi n°2025-127 du 14 février 2025 – art. 189 (V) de la loi de finances 2025. Les décrets du 27 février 2025 ne font que mettre en application la loi. De plus, le Conseil d’État a rendu sa décision le 26 mai 2025 suite à la demande du syndicat Action et Démocratie, affilié CFE-CGC, pour la suspension de l’exécution du décret n° 2025-197 du 27 février 2025 relatif aux règles de rémunération de certains agents publics placés en congé maladie ordinaire ou en congé maladie, et du décret n° 2025-198 du 27 février 2025 relatif à la rémunération maintenue en congé de maladie pour certains agents publics. Cette requête a été rejetée, le Conseil d’État décrétant qu’il n’y avait pas lieu de la renvoyer au Conseil constitutionnel.Néanmoins, le député partage votre inquiétude sur les conditions de travail et de rémunération des agents publics, en particulier pour les agents catégorie C. Il a déposé, ce jour, une question écrite au Gouvernement sur la revalorisation du statut de fonctionnaire.Bien cordialement,—Antoine DALLET